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Les dernières nouvelles sur l'attaque contre Miguel Uribe Turbay, en direct | Un juge ordonne la détention préventive du mineur qui a tiré sur le sénateur

Les dernières nouvelles sur l'attaque contre Miguel Uribe Turbay, en direct | Un juge ordonne la détention préventive du mineur qui a tiré sur le sénateur

Le Bureau du Médiateur, l’Église catholique, l’ONU et plusieurs organisations de la société civile appellent la société à éradiquer la violence en politique.

Le Bureau du Défenseur du peuple, la Conférence épiscopale, les Nations Unies et plusieurs organisations de la société civile ont appelé la société colombienne à éradiquer la violence en politique, trois jours après l'agression du sénateur Miguel Uribe Turbay à Bogotá. Le Bureau du Défenseur du peuple et la Conférence épiscopale ont publié une liste d'engagements, notamment la défense de la vie et de la démocratie, le respect des institutions, la promotion d'un langage constructif et l'élimination de la stigmatisation. « Nous invitons les plus hautes autorités des trois pouvoirs de l'État, dans le cadre de leurs compétences, à signer ces engagements afin de garantir un processus électoral libre et pacifique », indique le document.

Le représentant en Colombie du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, Scott Campbell, s'est joint à l'appel, invitant « les plus hautes autorités des trois pouvoirs du gouvernement à signer, dans le cadre de leurs attributions, ces engagements pour garantir un processus électoral libre et pacifique », indique le document.

Ces engagements ont été soutenus par des groupes tels que Valiente es dialogue, qui a condamné l'attaque contre Uribe Turbay et a appelé le gouvernement à garantir les conditions de la compétition politique : « Nous exhortons le gouvernement national à garantir les conditions politiques, institutionnelles et sécuritaires qui permettent un processus électoral transparent, sans violence et ouvert à la participation de toutes les voix. »

De son côté, le collectif Femmes pour la démocratie a également appelé le président Gustavo Petro et le gouvernement à cesser toute manifestation favorisant la confrontation, et a demandé au Bureau du procureur général, au Bureau du procureur général et au Bureau du contrôleur des finances d'enquêter sur d'éventuelles organisations qui se consacrent à la diffusion de discours de haine sur les réseaux sociaux. « La Colombie appartient à tous, et chacun de nous a la responsabilité de promouvoir, par l'exemple, un climat de paix et de démocratie », peut-on lire dans leur déclaration.

EL PAÍS

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