François Bayrou Premier ministre
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Le collège-lycée Notre-Dame-de-Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques est visé par des accusations de violences physiques et sexuelles survenues entre les années 1970 et 1990. Le Premier ministre François Bayrou a rencontré samedi 15 février un collectif de victimes.
Le Premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a estimé ce dimanche 16 février que le Premier ministre a "participé d'une manière ou d'une autre à la loi du silence pour protéger l'institution" Notre-Dame de Bétharram.
Selon une étude d'Ipsos, le Premier ministre fait davantage recette chez les sympathisants LR (+24 points), au RN (+8 points) mais aussi au PS (+4 points) qui n'a pas voté la censure du gouvernement.
À l'issue d'une réunion avec le Premier ministre, le porte-parole de l'association des victimes de l'institution scolaire Notre-Dame-de-Bétharram, dans le Béarn, a rendu hommage à tous les enfants victimes de violences et a sommé François Bayrou de se saisir du dossier pour "agir".
Le Premier ministre François Bayrou s'est exprimé depuis Pau ce samedi 15 février à l'issue d'une réunion avec l'association des victimes de cette affaire de violences, notamment sexuelles, au sein de l'établissement catholique béarnais.
En déplacement dans les Bouches-du-Rhône, le garde des Sceaux a réagi ce samedi 15 février à la polémique qui vise le Premier ministre. Ce dernier est accusé de ne pas avoir agi concernant des accusations de violences et agressions sexuelles au collège-lycée de Bétharram, alors qu'il était ministre de l'Éducation nationale.
Dans son fief de Pau, le Premier ministre François Bayrou doit rencontrer ce samedi 15 février l'association des victimes de l'affaire de violences sexuelles dans cet établissement catholique béarnais.
Le groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale a saisi ce vendredi le procureur général près la Cour de cassation au sujet de l'affaire Bétharram, jugeant qu'il existe des "faits susceptibles de constituer une infraction pénale".
Le Premier ministre François Bayrou se rendra ce samedi 15 février à Bétharram pour rencontrer l'association des victimes de l'affaire d'agressions sexuelles dans l'établissement cathologique béarnais.
Le Premier ministre François Bayrou est au cœur d'une polémique grandissante dans l'affaire des accusations d'agressions sexuelles à Bétharram, un établissement catholique béarnais.
Une troisième motion de censure visant le gouvernement de François Bayrou a été rejetée ce mercredi 12 février. Le recours contre le passage en force du budget de la Sécurité sociale par le gouvernement via 49.3 ayant été écarté, le texte se retrouve ainsi adopté.
Le parquet de Pau mène l'enquête depuis un an sur une centaine de plaintes visant des faits présumés de violences, agressions sexuelles et viols commis au collège-lycée Notre-Dame-de-Bétharram, dans les Pyrénées-Atlantiques, entre les années 1950 et 1990.
Dans une interview accordée à 20 minutes, le chef de file des insoumis a réagi au débat sur l’identité française, lancé par le gouvernement de François Bayrou. Il est notamment revenu sur sa volonté de faciliter l'accès à la nationalité française.
Le parquet de Pau mène l'enquête depuis un an sur une centaine de plaintes visant des faits présumés de violences, agressions sexuelles et viols commis dans cet établissement des Pyrénées-Atlantiques.
Le Premier ministre se confronte ce mercredi à une nouvelle motion de censure déposée par les insoumis, après avoir déclenché lundi l'article 49.3 sur la partie "dépenses" du budget de la Sécu. Ni le PS, ni le RN ne devraient la voter, ces deux formations souhaitant que la procédure budgétaire aille à son terme.
Le Premier ministre a démenti avoir eu connaissance d’accusations d’agressions sexuelles dans un établissement catholique du Béarn fréquenté par ses enfants.
La troisième motion de censure déposée par la France insoumise contre le gouvernement sur les textes budgétaires n'a pas non plus été adoptée par l'Assemblée nationale.
Examiné par les députés ce lundi 10 février, le texte déposé par les insoumis n'avait quasiment aucune chance de parvenir à faire tomber le gouvernement de François Bayrou. Le Premier ministre a actionné un nouveau 49.3 dans la foulée sur le volet dépenses de la seconde partie du budget de la Sécu.
L'initiative des insoumis n'a aucune chance d'aboutir sans les voix du PS et du RN qui ne souhaitent pas censurer le gouvernement sur le budget.
Le Premier ministre a choisi de ne pas emménager à Matignon, comme le veut habituellement l'usage. Il assure résider toujours dans son village des Pyrénées-Atlantiques.
Le Premier ministre avait appelé à un "débat approfondi" sur les questions migratoires en France pour savoir "ce que c'est d'être Français".
Le Premier secrétaire du Parti socialiste, qui a rebondi sur les déclarations de François Bayrou sur un "débat sur l'identité nationale", s'est attiré les foudres de Jean-Luc Mélenchon et Manuel Bompard.
Le Premier ministre appelle à un "débat approfondi" sur les questions migratoires en France pour savoir "ce que c'est d'être Français". En 2009, en plein grand débat sur l'identité nationale, François Bayrou regrettait pourtant "un sujet d'affrontement politique" et "une utilisation partisane" de l'immigration.
Le Premier ministre a réuni son gouvernement ce jeudi matin, l'exhortant à aller au contact des Français. ll faut être très "attentif à leur ressenti", a insisté François Bayrou. Après plusieurs couacs, le centriste exige également de "la complicité" au sein de l'équipe gouvernementale.
Les députés se sont penchés sur les motions de censure déposées par La France insoumise pour faire tomber François Bayrou. Après le rejet de la première motion de censure sur le budget de l'État, l'Assemblée nationale a également rejeté celle sur les dépenses du budget de la sécurité sociale.
Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, a remercié les groupes parlementaires d'opposition qui n'ont pas voté les motions de censure déposées par la France insoumise.
Le Premier ministre va devoir affronter dans les prochains jours deux nouvelles motions de censure qui n'ont guère de chance de passer. Mais François Bayrou devrait être à nouveau sur la sellette au printemps avec le conclave sur les retraites ou la possibilité d'une nouvelle dissolution.
Les élus parisiens du parti de droite alertent sur le "risque de décisions expéditives" sur le mode de scrutin électoral municipal et préconisent à l'inverse "un débat approfondi associant tous les acteurs concernés".
La France insoumise n'est pas parvenue à faire tomber le Premier ministre sur le premier volet du budget de la sécurité sociale. François Bayrou devrait encore affronter deux autres motions de censure sur ce texte dans les prochains jours.
François Bayrou a échappé à la motion de censure déposée par La France insoumise ce 5 février après-midi. Sans les voix des socialistes ni du Rassemblement national, elle était vouée à l'échec.
Alors que l'Assemblée doit examiner mercredi les deux motions de censure de la France insoumise sur le budget, c'en est une autre qui inquiète davantage Matignon. Le Parti socialiste a en effet annoncé qu'il déposera, après le vote du budget, une motion de censure contre le gouvernement après les propos de François Bayrou sur la "submersion migratoire".
Les socialiste ne soutiendront pas les motions de censure pour faire tomber François Bayrou ce mercredi. De quoi les accuser d'être des "supplétifs" de la macronie pour LFI. Si la manœuvre provoque de fortes tensions entre les deux camps, elle pourrait à terme servir chacun d'entre eux.
Le Premier ministre devrait enjamber les motions de censure qui cherchent à le faire tomber sur le budget de l'État et de la sécurité sociale. De quoi lui permettre de rester en poste jusqu'à l'été, voire plus si le locataire de Matignon décide de se concentrer sur les affaires courantes, à moins que le RN n'en décide autrement.
Début d'une semaine à danger pour François Bayrou. Le Premier ministre vient d'utiliser l'article 49.3 ce lundi 3 février pour la première fois depuis sa nomination à Matignon. Il lui permet de faire adopter sans vote le budget de l'État et de la sécurité sociale à l'Assemblée. En conséquence, il devra affronter une motion de censure dès mercredi.
Le Premier ministre vient de faire adopter le projet de loi de finances à l'Assemblée nationale sans le vote des députés ce 3 février. François Bayrou affrontera mercredi une motion de censure qui n'a que peu de chances d'être adoptée. Si elle est rejetée, le budget de l'État sera alors adopté.
Le Bureau national du parti a décidé de s'abstenir de voter la censure du gouvernement de François Bayrou qui va recourir à ses premiers 49.3 sur les budgets de l'Etat et de la Sécurité sociale
Le Premier ministre va dégainer l'article 49.3 pour la première fois depuis sa nomination à Matignon ce lundi 3 février, afin de faire passer le budget de l'État sans vote des députés à l'Assemblée, faute de détenir la majorité. En retour, il s'expose à une motion de censure à l'issue incertaine.
Lors de la formation du gouvernement François Bayrou, Xavier Bertrand était pressenti pour devenir ministre de la Justice, avant un revirement de situation.
Manuel Bompard, coordinateur de la France Insoumise et député des Bouches-du-Rhône, dénonce sur BFMTV "le pire budget que le pays n'ait jamais connu depuis 25 ans".
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