Test du HP EliteBook 6 G1q : un ordinateur portable toujours connecté

Les résultats des benchmarks n'ont pas été surprenants, affichant des valeurs légèrement supérieures à la moyenne par rapport aux autres ordinateurs portables Snapdragon X Plus. Même son autonomie d'un peu plus de 17 heures en lecture de vidéo plein écran sur YouTube (en Wi-Fi, pas avec HP Go) se situe dans la moyenne de tous les systèmes Qualcomm que j'ai testés, même si cela reste une excellente note par rapport à tous les ordinateurs portables.
Le design industriel est utilitaire, mais frise l'ennui. L'appareil argenté, fabriqué en aluminium et plastique partiellement recyclés, a un aspect vieillot. Avec ses 24 mm d'épaisseur et ses 1,4 kg, il est également très lourd pour un ordinateur de 14 pouces. (Il est également lourd en main et sur les genoux.) Bravo toutefois à la surface texturée du clavier, qui offre une expérience de frappe plus agréable que la plupart des ordinateurs portables – attention toutefois à l'absence de rétroéclairage. Le pavé tactile est spacieux sans être encombrant.
La connectique est également solide, avec deux ports USB-C compatibles USB4, deux ports USB-A, une prise HDMI standard et un port Ethernet à mâchoires tombantes. L'emplacement pour carte SIM est accessible sur le côté de l'appareil ; les utilisateurs peuvent emporter leur propre forfait de données s'ils ne souhaitent pas utiliser la carte multi-opérateur HP Go, qui fonctionne via eSIM .
Faible valeur
Photographie : Chris Null
Le G1q est un PC Copilot+ et, comme pour les charges de travail plus générales, il a obtenu des résultats parfaitement acceptables aux tâches basées sur l'IA, comme la génération d'images et les tests de vision par ordinateur. Il est très stable au quotidien ; d'ailleurs, le seul problème que j'ai rencontré s'est produit lors de la configuration initiale, lorsqu'il a perdu sa connexion Internet en cours de route, m'obligeant à tout recommencer depuis le début. Un problème agaçant, mais ponctuel, qui ne s'est jamais reproduit.
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